
L’organisation Non gouvernementale , Médecins Sans Frontière exprime son inquiétude quant à la sécurité aux mebres de son staff , bloqués à l’hôpital général de walikale, depuis la prise d e ce chef lieu du territoire par le M23, le 19 mars dernier.
Dans un communiqué de presse rendu public ce mercredi 2 Mars sur la situation humanitaire et sécuritaire dans la zone , MSF souligne que les violences ont gravement perturbé l’accès aux soins.
Plus de 700 personnes se sont réfugiées à l’hôpital général, augmentant la pression sur des ressources médicales déjà limitées. Cette situation complique davantage le travail des médecins, qui exercent dans des conditions difficiles à cause de l’insécurité.
Imenden Hotman, coordinatrice des activités de MSF à walikale nous explique dans ce propos
A titre de rappel, depuis la prise de walikale, MSF prend en charge gratuitement les blessés des affrontements entre le M23 et les FARDC.
Jérémie Kihambu